👭 Au Revoir Simone & Lady Palavas

Au Revoir Simone

Au Revoir Simone

© jean-jacques ader

Au revoir Simone est un « keybord-pop trio » de New-York au concept très simple : trois filles qui chantent et jouent des claviers. Des goûts musicaux très proches (Sonic Youth, Electrelane et Belle and Sebastian entre autres) et des désirs communs (former un groupe où tous les membres joueraient sur des synthétiseurs vintages) poussent Erika Forster et Annie Hart à improviser à la maison des chansonnettes. Elles s’amusent à reprendre leurs morceaux favoris.

Au revoir Simone voit ainsi le jour en 2003. Heather d’Angelo rejoindra le duo peu de temps après. Repérées par le défricheur label londonien Moshi Moshi (The Rakes, Bloc Party, Architecture in Helsinki…), qui tombe sur un de leur morceaux en surfant sur un blog et les signe dans la foulée, les Simone ne tardent pas à se faire remarquer.

L’atypique formation (claviers, voix, basses et bidouillages électroniques) a conditionné dès le début le son du groupe. Mélodies électroniques et jeux vocaux dans une formule où l’on entend leurs préférences musicales : Stereolab, The Beach Boys, Broadcast, Belle and Sebastian ou des groupes d’indietronica comme Lali Puna. Une pop du 21ème siècle, comme si un girlgroup sixties faisait des infidélités à Phil Spector et flirter avec le label allemand Morr Music. Une pop rétro saluée unanimement par la presse, toutes tendances confondues de Rock and Folk aux Inrocks .

Après le buzz autour de leur mini-album « Verses of Comfort, Assurance and Salavation (début 2006), elles sortent aujourd’hui leur premier véritable album, « The Bird of Music », condensé d’électronique chaleureuse et accueillante au service des mélodies. Selon nos trois new-yorkaises à franges, juste une musique chaleureuse et organique avec des voix féminines et un seul but, nous faire du bien.

Lady Palavas

Lady Palavas

Lady Palavas, ce sont des mélodies accrocheuses, une fraîcheur musicale aux influences multiples (pop 60’s, bossa, disco, rock…) sur des textes en français teintés d’humour, de dérision, de tendresse ou de mélancolie. Une légèreté revigorante que certains commencent à qualifier d’easy pop en référence au courant musical easy listening qui vit le jour dans les années 60.


Le Kléo
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